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à l'abris des corps sages,
à l'abris des corps sage , 05/01/2020
Un grand poète d'antan , quêtant une ascendance,
guettant le compliment comme une descendance...
Verlaine , Âme de reine mère ressentit ,sa féline présence !
Adieu sagesse, fatalement perdue , à la démone transe...
Chat noir ,bondissant à la nuit , jaillissant des poubelles de l'enfance...
Arthur Rimbaud surgit , feulant à l'abstinence...
Devant ses yeux soumis , Verlaine jouissait son impuissance ,
qui se voulait vaincu d'avance... Sagesse déjà meurtrie par son absence...
Rimbaud qui prêt de lui , prenait de l'assurance...
Sexuelle revanche , à symbolique matriarcal , en réponse au silence patriarcal ...
Perversité n'est pas dans la blessure , mais dans la volonté de faire le mal !
Car de blesser Rimbaud n'en avait cure , lui qui voulait briller ,au point de se faire mal !
Fallait il une morale à cette comptine ,pouvoir d'épée qui tranche à pied fragile !
Les mots ne dicte la conduite du plus petit brin d'herbe, encore moins celle de l'homme ,
fut 'il docile...
Le ciel est mon jardin qui s'ouvre aux multitudes , luminescente béatitude de mes nuits ,
et quand viendra l'aurore , étoile où je m'endors , et la rejoint aux lointaines enfouies..
Mon âme sensuelle , mes pieds semelles aux vents ,à l' abris mon coeur sage ;
Tranquille veille.., à ce désir qui nous tient si souvent , d'admirer vos corsages; O, belles !
Drappier Jean-Jacques (tous droits réservés ).
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Commentaires
Bonsoir cher ami une belle entré sur ton nouveau blog magnifique écrit douce soirée mes amitiés
Béa
Merci béa tout est nouveau pour moi qui n'écris que depuis peu ..ton blog magnifique j'envie ... (sourire)