•                                Vous qui chantez ,                         12/08/2022

     

    Vous qui chantez , dansez la république,

    Ne le voyez-vous pas ,on nous mène à la trique.

    Pendant que champagne explose dans les salons,

    Qui  se rend compte;

    Que la guerre de bouchons, sonne la révolution..

     Mangeant, baisant, bêlant, râlant la télévision..

    Vous qui chantez ,dansez au quatorze juillet bon public ,

    Ne le voyez-vous pas, où nous poussent les cyniques,

    L'heure du je te pique , te nique , le joyeux pique nique..

    Lâchez la boite à images ,le réel est votre ami ,

    Le reste sur internet,  tunnel  crypté, si pas trop bête...

    Cependant , Mélenchon rêve de pacifique révolution..

    Voici venir l'hiver de déplaisirs.

    S'envole  coût de l'énergie ,loisirs , nourriture ,de carbure s'appauvrir..

    Comment les dénicher ,ne répond pas , tais-toi ,profite est leurs devise...

    Voici qu'au file de l'eau passe  les réformes de mises..

    Cherche terre promise, sortons les doigts du fion.

    Sociétés d'assurance , d'être pris pour un con.

    S'il faut que tout déménage , au sans nom reviendrons...

    Vous qui chantez, danser la république ,

    Vous qui ne croyez  pas, ces cornes là, vous piquent...

    JJD

    (tout droits réservés)

     


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  • La coccinelle,                          15/10/2022                

     

    L'autre jour, une coccinelle est venue se poser sur ma table de nuit,

    J'étais, tout à côté d'elle, lui proposant mon index, elle monta sur lui,

    Sans un battement d'ailes, sans le moindre soucis...

    Vaquant tranquillement, de la peau jusqu'à l'ongle goûtant..

    Lui rend sa liberté curieuse, à ma fenêtre en appuis...

    La pluie avait cesser depuis, qu'elle s'était réfugié, sur la table de nuit.

    Elle semblait ne vouloir bouger, longtemps restée, puis elle partie.

    Cet après-midi, une coccinelle est venue se reposer, au même appuis .

    J'ai cru qu'elle étais revenue, lui caressant la coquille, elle s'en émue,

    Ainsi , je sus qu'elle était autre...

    La surprise au passé , la voyant trottiner, d'un centimètre à l'autre,

    Après m'avoir bien regardé ,de ses soins mise en peine..

    Des pattes avant, prenant liens aux mandibules arrimées d'une bouche,

    Les pattes arrières, se frictionnant à la façon des mouches.

    Lui fit cette prière, tu es petite coccinelle, et plus petit que toi je suis,

    Au panthéon des coccinelles, reçus aujourd'hui!

    Une bête à bon dieu m'est venue, merci.

     

    JJD (tous droits réservés)

     


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  • Se divertir n'est plus,                                   30/09/2022

     

    De fait divers ne vibrons plus, se divertir n'est plus de mise à l'heure venue...

    Aux bacchanales des élites, chacun sa place, son rang ,ses rites satanique ..

    Les chasses à l'homme où la justice  venue,  n'est revenue.

    Les religions de sacrifices  ,martyrs , guerres convenues ..

    Où la mort miséricorde , bonheur sans but , sans raison.

    La solitude nous accordent, d'aimer les murs de nos prisons..

    Aimons la solitude, la seule paix à l'horizon...

    Se divertir n'existe pas, le fait divers ne vibre plus, à l'heure du trépas,

    Peuple orphelin quand le tyran n'est plus, qui donc  pleurez-vous là?

    Les morts auront des comptes à rendre...

    Artiste à la messe du vice, ouvre les yeux avant que de te pendre..

    Contrairement à la plupart des hommes  en scène facilement,

    Que n'ais-je eu l'âme du majordome , ce goût de l'effacement..

    Sur un réseau , du-con filme son sexe en érection ,

    Et pourquoi non, les chiens se sentent bien le fion..

    Dans ce monde de fou qui forme , déforme nos perceptions,

    Où s'amoncelle les détritus, se divertir n'existe plus...

    JJD

    (tous droits réservés)


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  • Acceptant ,                                                       06/08/2022

     

    Acceptant l'abandon, comprenne qui peut pardonne.

    Priant que de mes abandons l'ont me pardonne.

    Je viens à vous ,le plus vraiment du monde...

    Mon univers  poésie , mes amours vagabondes.

    Non , il n'y a pas maldonne , comprenne qui veut pardonne.

    Délaissant l'essentiel au superflu ,on se prive de tout.

    On se vole soi-même , l'idée même du nous.

    Le remède au poison est le même,

    Fasse , les uns , les autres, qu'ont s'aiment...

    Pour éviter le pire , qu'ils nous faillent choisir,

    L'amour , l'argent , vivre ou mourir...

    Je vous le dis sans peine , venus au monde..

    Du printemps à l'automne, aux langueurs monotones,

    Le temps froissé des feuilles mortes,

    Au vent du feu qui les emportent,

    Et il ventait devant ma porte...

    JJD

    (tous droits réservés)


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  •                                Pourquoi,                                          20/09/2022

    A chaque fois les même mots;

    Fermant les yeux s'efface mon esprit où s'éteint la lumière,

    Retrouvant le jour au travers des prunelles de chair..

    Au retour les même maux en planisphère,

    L'absurde condition première,

    L'esprit se fond dans la matière,

    Se meurt au ventre de la mère...

    Qui vit souffre et meurt à la fois,

    Radeaux de la méduse ,où s'accroche ma foi..

    Pour accepter l'absurde  loi, vivre pour mourir ici-bas.

    Ni qui, ni quoi ni comment, mais pourquoi ?

    Les même mots reviennent à chaque fois...

    JJD (tous droits réservés)

     


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